il y a place CHLORÉE à peine pour corps d'un mètre soixante par dix centimètres claxons bananes mégaphones, square plus loin CHLORÉE, square qu'une certaine langue veut paisible inactifs, les gens rare jusqu'ici, vitrine coin de rue, personne ne s'y tient que langue, méditant reclos tenant planté son mât, captant voix choses leurs entrelacs, CHLORÉE pas un vendeur pas un passant qui se montre voyant, culottes tangas qui à rose en nylon sur le devant qui à deux trous et, parmi plus loin ces hommes CHLORÉE je t'ai aimée qui portant une cruche d'alu dans le dos se baissent jusqu'aux tasses à thé tendues aimée, mêmes squares où les jeunes couples se touchent quant tout prétexte les bouscule, détour distance ostensibles et ostensible l'atmosphère veut y passer outre CHLORÉE plus tard, club d'écrivains têtus à tête blanche boivent des jus d'orange feuilletant distraitement, est-ce vraiment le nouvel ouvrage s'étonnant, qu'on interviewe un des leurs sur imitations d’appel à guerre sainte sur slogans machistes tirés, d'une méthode de langue, leurs femmes CHLORÉE de quarante ans qui sont allées à l'école des soeurs mais est-ce vraiment sont seules, capables d'expliquer dans notre langue en évitant notre regard le sens de la main représentée dans leurs peintures, qui est, mais est-ce vraiment, de se protéger en secret de l'amour éprouvé pour le passant et, qu'on retrouve à l'arrière des voitures, cette main, quel monde la fable ces peintures, saturées superposées lignes chacune appartenant à de multiples motifs CHLORÉE, foncière multivalence je t'ai, au café parlottant avec calligraphe pixellisant avec éditeur germanophone qui fut cuistot à kreuzberg avec sculpteur de minneapolis avec oudeur, et anglais amateur de colombo puis quelque, chien je t'ai EAU-DE-ROSE dans la fumée, pas moins dans mes omelettes aux poivrons demain, grillades île d'oiseaux, CHLORÉE menace laquelle, le pire ça chante.